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Mettant en ligne l'échange avec Katharina Jerabek, je constate que le mot "nabel" désignant le nombril en allemand, s'anagrammise , voire se boustrophédone, en " leban", très proche de "lavan"(*), c'est à dire "blanc" en hébreu. Le blanc comme non-couleur du retour-sur-soi d'avant les origines, suture ombilicale des échappées du rêve. (*) la lettre "a" devient "e" par effet de palindromie verticale; quand à l'altération du "b" en "v", elle est classique en espagnol, ainsi qu'en hébreu qui écrit "bet" et "vet" de la même manière, différenciant seulement la prononciation par un point. Je confie cette note , post-scriptum non envoyé, à un espace intermédiaire, entre le "chantier épistolaire" et la revue NOTES de Catherine Jackson. 26 juillet 2007