<=
Au risque de passer pour monomaniaque, je souligne aussi la relation phonétique entre le bouton et la toponymie. C’est à « Port-Bou » que Catherine M se reboutonne, ou du moins en évoque la possibilité, en bout de quai d’une « gare-frontière », en attendant que « le quai se vide » .« Qu’est ce vide? » mais qu’est ce « ce » qui se vide en bout du bout ? Bien à vous, Michel Jeannès ( Lettre à Catherine Millet, suite à la lecture de La vie sexuelle de Catherine M. publiée in Zone d'Intention Poétique, la lettre volée, Bruxelles, 2005)