J'explore le site de l'artiste mathématicien Pierre Gallais. Dans la rubrique de présentation, dès la première ligne, une référence à "la vie mode d'emploi" et Georges Perec. Et là, le comble de la coquille: Perrec avec deux r! Un autre que cet artiste spécialiste du chiffre et de la surface seinpathique serait mis à l'index voire haroté sur le beau dais. Or cette coquille-ci m'apparaît comme un tapsus (*) produit par l'onomastique à l'oeuvre. En effet, avec deux r, roulant le r comme en Lozère, "Perrec" n'amousse pas plus masse que "Pierre" et fait le compte d'un même nombre de lettres (6). La coquille est monogrammatique et signe tout en la cryptant au pied du là-lettre, la présence de l'artiste dans la rencontre avec l'écrivain, dont le patronyme choisi signifie - ce n'est pas là moindre facétie de Georges - "chapitre" en hébreu. Ainsi Pierre Gallais fait du zèle tout en redoublant les airs : lui dont le prénom est boutonné d'un double r et le nom d'un double l, redouble cela va de soi, l'r de Perec. Le compte est ainsi bon, puisque "Georges Perrec" compte alors le même nombre de lettres que "Pierre Gallais" soit (7+6= 6+7). Relevons aussi la similitudes d'initiales et nous pouvons admettre que seul PG est en droit d'écorrcher GP. Il y a du chiffre dans l'r et la coquille exprime l'identité au pied du là-l'être. Enfin, puisqu'à cette coquille je dois la mise à jour du monogramme à l'oeuvre (**) je souligne que l'identitaire "Pierre Gallais" peut s'entendre en chiffres, approximativement Pi-R (2) pour Pierr et gallais/égalé soit, pour l'inconscient qui en connaît un rayon en matière à se faire des noeuds, la question fondamentale de l'égalité de la pierre et du galet dans le ricochet. (*) tapsus: lapsus tapuscrit, dont je suis moi-même prolixe et friand lorsqu'ils sont productions d'alter). (**) pour ceux qui découvrent cette note tout de go, consulter nos travaux sur la "sémiologie de l'oeuvre -monogramme" à cette adresse: http://www.lamercerie.eu/indexsemioimaget.html Je confie cette notule à un espace intermédiaire ,entre le site de l'artiste (http://institutdemathologie.free.fr/) et la revue NOTES de Catherine Jackson. 23 janvier 2009