Début janvier, je regarde une émission de télévision. Un come-back de Jean-Marie Messier, ex patron de la marque Vivendi, déchu au parachute doré C'est alors qu'il présente son nouveau livre - à paraître - "le jour où le ciel nous est tombé sur la tête" , que je prends conscience de l'anagramme de son patronyme: MISERES. J'entrevois là, au pied de la lettre, une Vanité digne du crâne peint en anamorphose par Hans Holbein dans le bouclier des "ambassadeurs". Le messi mercier, figure d'Hermès et patron des voleurs, est porteur au coeur de son identité de ce qu'il doit craindre le plus. J'en modifie une page de Wikipedia. Je confie cette note en retournement de sens à un espace intermédiaire, la revue NOTES de Catherine Jackson. 19 janvier 2009